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Changer le monde pour redevenir des Dieux - Let's change the world and grow into Gods again! (Voir La Parole Originale (RA:2/13)
18 décembre 2011

Naissance de Jésus fête de Noël son histoire

Aux premiers siècles de notre ère, alors que la religion chrétienne se construit, la fête de Noël n’existait pas.
Pourtant l’origine de Noël et son histoire sont étroitement liées aux cultes païens qui étaient, avant le christianisme, très nombreux autour du 25 décembre.

Il y a 2005 ans Ce serait arrivé à la saison froide.Les premières douleurs de la maternité auraient pris sa mère alors qu’elle était en route avec son époux vers Bethléem pour se faire Recenser.Or, l’administration romaine n’organisait pas de recensement en hiver.Il y a peu de chances que Jésus naquit en décembre.Plus vraisemblable est sa naissance à la récolte Des dattes fraîches c’est à dire à l’automne comme nous l’apprend Le Coran (19/25) * .Mais qu’importe la date de naissance de Jésus, IL importait plus d’accomplir ce qu’il était venu dire IL y a vingt siècles puisque durant 1700 ans fêter sa naissance n’a pas empêché Le monde de continuer à souffrir et faire souffrir.Le message palestinien n’a pas été accompli, Des princes et Des prêtres l’ont détourné pour régner durant des siècles sur la foi,éteignant progressivement l’enthousiasme des croyants.Scandalisés par les puissants et les riches qui ont fixé un prix à la Terre et même à la prière, Le peuple ne sait plus où Est son créateur et où IL n’est pas. C’est pourquoi , en 1974, IL envoie Jésus sur la rive d’Arès Puis 4 ans plus tard, se manifeste lui même pour relancer l’homme dans l’accomplissement de son grand dessein : reconstruire Eden en Soi d’abord en se libérant de tous pouvoirs et en aimant son prochain comme soi-même. Tel est le sens de la Révélation d’Arès.Où est passé ce sublime idéal ? Les premiers chrétiens les chrétiens des Ier et IIème siècles savaient que Jésus n’était pas Dieu.(32/1 à 5).

Jésus enfant

La théorie de l’incarnation de dieu crucifié pour la rédemption Du monde ne viendrait que plus tard. De même la célébration de Noël était ignorée Des premiers chrétiens, elle apparaît au IVème siècle après une longue période de persécution.L’empereur Constantin qui régnait dans ce siècle avait parfaitement compris que l’enseignement de Jésus promouvait une société libre sans gouvernants. Il sentait que Le Bien dont Jésus avait parlé ne oouvait pas se développer sans liberté absolue ce qui évidemment ne faisait pas son affaire celle des pouvoirs en place. Le danger se situait dans la foi solide des premiers chrétiens qui, malgré les persécutions avançaient courageusement à travers le monde pour le conduire vers Le bonheur tant recherché. L’idéal de ces nouvelles communautés reposait donc sur une haute idée de l’homme et de ses capacités à créer une humanité naturellement juste et heureuse. Ce peuple en marche vers Eden avec l’amour du prochain n’avait surtout pas besoin de religion qui n’est jamais qu’un système dont l’identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe pour exercer son pouvoir sur les âmes sinon elle perd sa raison d’être. Tout comme Le gouverneur politique a besoin que le mal existe pour défendre le peuple contre celui-ci.(pour plus de précision lire Le Frère de l’aube n°66) A quand remonte la fête de Noël en 313 l’empereur romain Constantin récupéra politiquement Le Christianisme. En rusé défenseur de son empire, IL n’officialisa pas le christianisme Mais une église, celle qui lui parut la plus soumise à son pouvoir et à ses intérêts. Les autres églises allaient devoir ou se fondre dans cette église officielle ou disparaître ou se trouver très marginalisées (église copte).Constantin put soumettre les représentants Des églises, en leur donnant Le titre de « pontifex maximus » (signifiant grand prêtres)titre jusque là réservé à l’empereur lui-même..Certaines festivités païennes reçurent des équivalences chrétiennes.Ces dernières firent croire qu’elles concurrençaient et par la suite remplaceraient les festivités païennes, sous d’autres noms et prétextes. Noël fut de celles-là. Ainsi Le paganisme sans absorber le christianisme venait de le récupérer car immense était l’habileté à gouverner de l’empereur Romain et de son administration.Les chrétiens en renonçant à leur libération du monde par l’amour cessèrent d’être martyrisés et tenus pour traîtres à l’empire mais la Merveilleuse Force de Vie qu’ils transportaient ne fut plus sécrétée.

Vitrine_Noel_2011

Durant 17 siècles elle est restée piégée, engourdie, bâillonnée et Le Malheur est resté sur Le monde. Le Retour du Créateur vient la délivrer avant que ne pleuve Le péché des péchés, c’est à dire avant que l’homme ne sombre dans une désespérance accentuée par la perte progressive de la volonté qui le priverait à jamais de son retour en Eden. Que reste-t-IL du message original ? Les générations qui suivirent fêtèrent Noël Le 25 décembre, fête païenne du retour de la lumière, au moment du solstice d’hiver où les Jours commencent à rallonger. Puis de siècle en siècle, cette fête évolua. Le folklore de la nativité est arrivé bien après, IL va varier au cours des siècles au gré des Influences locales et de leurs cultures. La première crèche connue Date de 1222, elle fut réalisée à Greccio par François d’Assise, Le jars de la Révélation d’Arès (XXXVI). C’était une crèche avec des personnages vivants.Les personnages de plâtre n’apparurent pas avant 1562 à Prague et semble- t-IL avec la première crèche d’église.L’arbre de Noël , le sapin, est mentionné en Allemagne, puis en Alsace au XVIème siècle, et ne devint populaire en France qu’au XIXème siècle. Enfin, le Père Noël qui est la variante du fameux St Nicolas devenu tout à tour symbole ou idole incontournable du 25 décembre arriva des Etats Unis en Europe dans la seconde partie du XIXème siècle.Ce n’est qu’à partir de la première guerre mondiale que le père Noël commença à imposer son image en France.Originellement habillé de vert, il dut sa tenue rouge à une publicité de Coca-cola.Le comportement des puissants et des riches a semé un tel scandale dans le coeur des hommes qui ne demandaient qu’à aimer que les générations actuelles ne croient plus en rien. Mais l’athéisme ne fait pas l’espérance, or l’espérance est dans l’amour universel dont nous avons tous besoin. Qui peut le nier ? Le sens que la Révélation d’Arès peut donner à Noël Noël reste l’occasion de comprendre qu’un homme de chair comme nous, portant le nom de Jésus, en s’imposant de devenir absolument bon s’est élevé au dessus de la condition humaine. Il fut crucifié parce que son merveilleux message libérateur dérangeait les pouvoirs en place. Noël reste l’occasion d’aider n’importe qui, chrétien, juif,musulman ou athée à comprendre qu’en changeant en bien, il ne change pas que pour lui même mais il commence à changer le monde en partageant l’espoir d’un retour de la bonté, de l’amour, du pardon, de la paix, de la liberté spirituelle, comme valeurs et sagesses dominantes dans sa vie La foi restaurée à Arès place la conscience active à son plus haut niveau possible. Elle rappelle à l’humanité qu’il n’y a pas plus de salut gratuit qu’il n’y a de bonheur gratuit. Tout se gagne ou s’accomplit avec la volonté, la patience et la constance. Noël reste enfin l’occasion de rappeler à l’homme qu’il ne s’en sortira pas sans bouger, sans ascension, sans pénitence, laquelle n’est pas plus lourde que le souci de l’usurier, elle est même plus légère que le joug du riche et du puissant. Elle est une joie pour celui qui décide de retrouver son sublime destin d’homme libre. ( Andréa. J  25 décembre 2005 ).

Voir aussi Noël 2011: http://freesoulblog.net/jLD/jLDtv.html par Michel Potay: http://michelpotay.info/index.html

« Dieu c’est une rencontre.  Une rencontre de l’homme avec lui-même, parce que l’homme est image du Créateur. Même si vous ne croyez pas en Dieu, vous êtes près de Lui sans le savoir. Le Créateur dit de Jésus : « J’en ai fais un Dieu », pour simplement dire que Jésus s’ est révélé à lui-même en devenant un pénitent, c,-à-d, un homme de bonté, de pardon, de paix, de liberté et d’intelligence spirituelle retrouvées par la volonté d’être ainsi. (Michel Poyay). 

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